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Circonstances de l’arrivée du témoin sur le chantier du tunnel sous la Manche : expérience professionnelle antérieure, travail dans les mines d’uranium à la COGEMA pendant 13 ans et demi (en Vendée dont il est originaire, dans les Cévennes), puis en 1989 à l’annonce de la fin de l’exploitation des mines françaises le témoin cherche une nouvelle mission et répond à des annonces, dont celles de TML. Il passe un premier entretien d’embauche en vue d’une affectation au « T 2 », tunnel maritime nord, puis, à son arrivée sur place, est affecté au puits de surface, qu’il décrit comme une installation industrielle de 65 m de diamètre et de profondeur d’où partaient 5 tunneliers et par lequel étaient évacués les déblais ; c’est à son avis l’équipement le plus important du chantier, avec des fonctions de logistique et de production.
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