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À Erfürt [Land de Thuringe, Allemagne], il tomba malade, un médecin lui donna huit jours de repos mais le médecin de la Gestapo lui ordonna de retourner travailler. De retour au baraquement, la Gestapo vint le rechercher et l’emmena pour l’interroger sur ses activités en France. Suite à cela, il fut reconnu malade et transféré au nettoyage des trains de voyageurs qui passaient entre Berlin et Paris et des trains de banlieue. Il a ainsi fait des travaux moins pénibles, là il travaillait au contact de femmes allemandes avec qui il échangeait et flirtait. Mais il fallait faire attention car si cela était découvert, la conséquence était l’envoi en « camp de concentration ». Les femmes étaient souvent malades, contaminées par les militaires, et certaines venaient même dans le camp.
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